Actualisée
le 12 juillet 2009
La
revue de presse qui est mise
à
jour régulièrement est une
sélection
personnelle.
Visitez aussi
Le point sur
Big Brother - 1 Juil 2007
Le point sur Big
Brother - 2 Août
2007
Le point sur Big
Brother - 3 Sept/Oct
2007
Le point sur Big
Brother - 4 Nov/Dec 2007
Le point sur Big
Brother - 5 Jan/Mars
2008
Le point sur Big
Brother - 6 Avril/Juin
2008
Le point sur Big
Brother - 7 Juil/Sept
2008
Le point sur Big
Brother - 8 Oct/Dec
2008
Le point sur Big
Brother - 9 Jan/Juin
2009
Le point sur Big
Brother - 11 Jan/Juin
2011
- Un
drone américain tue dix activistes au Pakistan
- Obama
veut détenir sans limite les présumés
terroristes
- Le
fichier Périclès, grand mix de données
personnelles
- Un
super-flic américain à la tête
d’Internet
- Facebook
s'interroge sur son degré de confidentialité
Drone: De la surveillance passive au contrôle actif puis à la répression... mortelle.
Comme c'était prévisible
parce que logique, il n'a pas fallu beaucoup de temps pour que les
drones passent de la fonction de surveillance à
celle de
la répression active. De la même
manière qu'ils
ont été conçus dans un premier temps
pour servir sur les théâtres
d'opérations
militaires et ensuite être étendu aux
zones civiles (surveillance des manifestations par exemple), il ne faut
pas être devin ou conspirationiste acharné pour
savoir qu'ils vont être rapidement à l'honneur
pour avoir stoppé net quelques clandestins franchissant une
frontière ou pour avoir abattu un fugitif. Ceux qui pensent
que Big Brother se contentera simplement de surveiller le troupeau
humain, seraient avisés de voir ou de revoir le film Stars
War et en particulier la
manière dont les robots et les
drones remplacent avantageusement les plus zombies et les plus froids
des militaires.
Voir mes commentaires d'actualité sur le sujet:
- Ca se passe en Belgique et
en Angleterre et ..... ça va venir en France.
- Le
procédé est moins discret que la puce
RFID embarquée, mais il prend des photos.
- Les
gardes-frontière prennent de la hauteur .. pour mieux te
voir mon enfant.
- Etat
de siège déclaré contre les citoyens.
- Le
club des espions ailés s'agrandit. (avec petite
collection de vidéos)
- Le
drone, un principe à usages multiples mais à
finalité unique.
- Des
drones pilotés de très loin mais qui voient de
très près.
- Drone
caméléon anémique.
- Avec
le drone au Taser, le feu du ciel sera policier.
- Alerte
! Alerte ! Après le ciel et la terre, les drones envahissent
les mers
- Le marché des drones est en
pleine expansion. Devinez pourquoi.
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Non droit: Obama fait beaucoup plus fort que Bush
On
n'est pas élu président des Etats-Unis sans avoir
un
profil qui satisfasse la CIA et
généralement les
services secrets, le lobby militaro-industriel et la plupart
des mafias et sociétés
secrètes qui tirent
les principales ficelles de la politique américaine. S'il
subsistait un doute sur cette réalité, il suffit
de
considérer les sommes colossales que nécessite
une
campagne électorale et les moyens forcément pas
toujours
honnêtes qui sont nécessaires pour
s'allier le vote
des représentants, gouverneurs et sénateurs qui
élisent le locataire de la Maison Blanche. En la
matière Barak Obama est celui qui a
bénéficié du plus de moyens loin
devant tous ses prédécesseurs. Si on ne tient
pas
compte de cela et que l'on fait parti des groupies qui voyaient en
Barak Obama une sorte chevalier antithèse de G.W
Bush, on
sera
inévitablement très déçu de
constater que
la politique de non droit américaine n'est pas interrompue
et se
trouve même officialiser à la hausse. Qu'on en
juge. Avec cette disposition qui permet
de mettre et de garder en prison sans aucune limite de temps, sans
justification, sans avocat et sans défense, n'importe qui
dès lors qu'on lui colle l'étiquette de
supposé terroriste, ce n'est plus l'exercice
du non droit hors des frontières que l'immonde
Guantanamo ou les prisons secrètes US à
l'étranger permettaient de pratiquer, mais sa
légalisation (si j'ose dire) sur le territoire
même des Etats-Unis. A présent, plus besoin de
Guantanamo puisque ce type de camp et ses pensionnaires pourront
légalement s'installer sur le territoire
américain. On comprendra donc l'importance
capitale de ce nouveau degré franchi qui ferme
définitivement le principe de légalité
pénale et ouvre l'ère de la dictature la plus
abjecte. Quand on sait que la quasi-totalité
des détenus de Guantanamo étaient parfaitement
innocents de ce qu'on leur reprochait et que la majorité
était à peine sortie de l'adolescence, on imagine
sans peine mais avec effroi, l'enfouissement
définitif de dizaines de milliers d'innocents (ou de bouches
inutiles) qui disparaîtront sans témoin.
Attention, ça se passe aux Etats-Unis, mais cela va
arriver inévitablement rapidement en France.
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Petit à petit l'idée d'un
fichage massif de la population s'est installée pour en
arriver à la
phase
active actuelle du croisement des données englobant le plus
de sources possibles. D'abord crées sous
des prétextes qui faisaient
opportunément l'unanimité, les
fichiers dits de police se sont rapidement et sournoisement
étendus à l'ensemble des citoyens.
Mais ils ne sont eux-même aujourd'hui qu'un
prétexte permettant d'étendre
la collecte et la centralisation de données à des
éléments qui n'ont rien à voir avec la
délinquance ou les enquêtes criminelles.
De ce fait, la constitution d'une gigantesque base de
données hétéroclites
puisées à l'ensemble des sources disponibles,
rend possible la réalisation de
véritables portraits-robots de chacun d'entre nous,
aussi subjectifs et inintelligent que peut l'être
l'appréciation de la pensée humaine par un robot.
Compte tenu des intentions à peine voilées des
concepteurs du type de société qui accompagnera
le nouvel ordre mondial, il y a toutes chances (si j'ose dire) pour que
l'objectif
ultime de ce type de fichier soit naturellement d'en faire la
matière servant à un tri
sélectif
socio-darwinien de la population,
lequel décidera des plus dociles et
manipulables utiles au système et
mettra à l'écart les plus humains. Imaginons donc
un instant ce que pourrait établir le
logiciel programmé pour tracer le profil psychologique et
social d'un individu à partir des informations
contenues dans les
froides données policières (des
condamnations
pénales aux appréciations douteuses des
RG en passant par les amendes de stationnement), mais
aussi économiques (carte de
fidélité, traçage des achats, carte
d'abonnement transports, banques, etc..), sociales (réseaux
sociaux Internet, blogs, forums, etc...), administratives
(sécurité sociale, impôts, fichiers
communaux, appréciations de DRH, comportements scolaires,
etc...), sécuritaires (archives
vidéosurveillance, badges à puce, etc...) et
privées (recherches web, messageries, contenu des
ordinateurs piratés par les mouchards,
conversations téléphoniques archivées
par les opérateurs).
Aujourd'hui, la
question n'est plus de savoir si
la dictature mondiale va s'instaurer, ni comment, mais de
déterminer quand va débuter
concrètement sa "solution finale",
c'est
à dire l'éradication de
l'humanité
pensante et libre.
Personnellement,
je ne vois pas plus de 2 à 3 ans avant
que tout ne soit
en place et guère plus 3 à 5 avant qu'elle ne
commence à s'appliquer globalement à la
planète. Comme je ne prends pas de paris que je
n'ai quelques solides chances de gagner, je crois hélas que
mes prévisions se vérifieront rapidement.
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Internet: De l'espace mondial de liberté et de partage à l'outil de flicage global
Doit-on s'étonner que le principal
organisme de gestion et de régulation d'Internet
(ICANN) vienne de se voir doté par Barak Obama d'un
président issu de l'administration hyper
sécuritaire américaine
? Assurément pas puisqu'Internet est le vecteur de
communication, de partage et d'échange qui est par principe
le
plus ouvert, le plus humaniste et le plus libre du monde et que cette
liberté offerte aux citoyens de la planète est
justement ce que redoute le plus les dirigeants du monde
à commencer par les américains qui
entendent
imposer à tous leur société
aseptisée, déshumanisée,
manipulée et
contrôlée. En plus de nous confirmer que Barak
Obama partage la même vision paranoïaque d'Internet
que son
prédécesseur G.W Bush, le choix des
compétences qui ont fait le cursus du nouveau
président de l'INCANN (ex patron du Department for
Homeland Security et du National
Cyber Security Center) nous indique le type d'usage
qu'il entend appliquer à l'Internet, c'est
à dire celui d'un Big Brother à la fois
collecteur d'informations sur les usagers et outil de surveillance de
ceux-ci.
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Les utilisateurs de Facebook ne vont plus craindre de se lâcher. En toute confiance ?
La possibilité offerte aux membres de Facebook de pouvoir sélectionner les lecteurs qui auront accès aux informations personnelles qu'ils déposent sur leur compte, semble répondre aux multiples critiques dont ce réseau social virtuel a fait l'objet depuis quelques mois, tout comme son pendant MySpace. On se souvient en effet de l'utilisation qui a pu être faite de ces données pour justifier par exemple des licenciements, refuser des candidats, lancer des rumeurs ou mettre dans une situation délicate le nouveau patron du MI6 anglais. Mais qu'on se rassure, si l'internaute pourra régler son degré de confidentialité et cacher à la vue de tous les données qu'il ne voudra pas montrer à n'importe qui, il continuera évidement de ne pas avoir de secrets pour les surveillants de la Toile qui pullulent dans les services officiels et officieux de renseignements et les officines privées qui en sont l'extension. Il se peut même que le Facebooker, mis en confiance par la maîtrise qu'il pensera avoir de choisir ses lecteurs, ne se lâche un peu plus sur ses sentiments intimes et ses petits secrets, ce qui fera saliver encore plus les agents de Big Brother.
Voir aussi mes commentaires d'actualité
sur le sujet:
Les
réseaux sociaux sur le Net,
une base de données gratuite pour les surveillants de nos
vies
Confiez
vos états d'âme sur les réseaux sociaux
et nous en tirerons votre profil et les conséquences.
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NB: Merci de signaler les liens inactifs. Une copie PDF de ceux-ci vous sera adressée.