Depuis qu'en 1988 à Séoul Ben Johnson a roulé devant des centaines de millions de téléspectateurs ses biceps suspects quelques mètres devant l'imbattable Carl Lewis, il semble que le body building à la Schwarzenneger soit le sport de base incontournable pour fabriquer des champions dans la majorité des disciplines.
Pourtant ce sont justement ces pectoraux surdimensionnés qui
ont
mis la puce à l'oreille des profanes de bon sens avant
qu'ils ne
soit confirmé que le Canadien poussait en même
temps la
fonte et la seringue.
Paradoxe
du sport médiatique où d'un coté on
nous rebat les
oreilles de la lutte contre le dopage et où de l'autre on
glorifie des "Dieux du Stade" qui ressemble de plus en plus au
Hullk de la BD.